Coucou !!
Bon normalement sur ce site nous sommes toutes et tous majeur n'est-ce pas 
Mais je mets quand même un avertissement avant que vous ne lisiez ce chapitre. IL S'AGIT D'UN LEMON donc un texte très explicite !! Vous êtes prévenu !! Les moins de 18 ans vous repartez gentiment d'où vous venez... D'ailleurs vous ne devriez même pas être là T_______T
Sinon les autres j'espère que vous allez enjoyé XD !!!
Bonne lecture 
Chapitre 12
À l'époque, Leo avait dix-huit ans.
Donovan lui avait présenté son nouvel équipier.
Il l'avait fait venir d'Angleterre afin de l'aider à s'améliorer et affiner ses connaissances.
Il était originaire d'Irlande, avait vingt-sept ans, des cheveux blonds vénitiens avec de petits reflets roux, ceux-ci était retenu par un élastique mais quelques mèches rebelles flottaient autour de son visage. Il avait les yeux verts, un corps finement musclé et était légèrement plus grand que Leo. Cela faisait six ans qu'il travaillait pour Donovan.
Son nom : Noam Mac Raith .
Dès que Leo l'avait aperçu, son pouls avait ostensiblement augmenté et lorsqu'ils s'étaient serré la main, un frisson d'excitation lui avait parcouru l'échine.
Son attirance pour les hommes ?
Il l'avait compris il y a bien longtemps.
Selon les ordres de Donovan, Noam avait emménagé chez Leo.
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Bureau de Leo.Il lève la tête et regarde le ciel qui est empli de nuages, à nouveau la pluie n'est pas loin, il soupire, repose la tête sur ses bras, ferme les yeux et replonge dans ses souvenirs.
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Lui et Snow l'adoptèrent très vite, d'autant plus que Noam c'était révélé être un homme discret et facile à vivre.
La bonne entente s'était très vite transformé en une solide amitié.
Leurs moment de repos, ils les passaient à discuter de tout et de rien, apprenant à s'apprécier toujours plus.
Leo avais ainsi appris que son associé avait encore de la famille en Irlande, sa mère et sa grand-mère vivaient encore toutes deux dans son village natal.
À la fin de sa scolarité, il avait tenté l'obtention d'une bourse pour entrer à l'université d'Oxford en Angleterre. Ce qu'il réussit à la grande fierté de sa famille.
Par la suite il avait intégré l'armée ou il s'était spécialisé dans l'infiltration.
Son contrat terminé et de retour à la vie civile, il avait tout fait pour être engagé dans une des filiales de Donovan.
Un mois après le début de leur association, ils s'étaient autorisé une sortie en ville un samedi soir, ils avaient fait la tournée des bars.
Il était plus de trois heures du matin alors qu'ils s'étaient mis sur le chemin du retour.
Malgré l'heure tardive il y avait encore beaucoup de badauds. Leo ayant dépassé sa limite de tolérance envers dame alcool, avait pris appuis sur l'épaule de son ami pour tenir debout sans vaciller.
Tout d'un coup, comme ça, de but en blanc, il lui avait fait par de son attirance pour les hommes.
Noam avait éclater de rire, lui faisant remarquer qu'il l'avait deviné depuis longtemps.
Leo voyant qu'il ne s'en était pas offusqué, lui avait dit :
- Tu pourrais aimer un homme?
- MMh... je ne sais pas, pourquoi tu me demandes ça?
Le blond s'était emballé suite à la réponse de son ami.
- Parce que moi..... je t'aime.
Il l'avait regardé avec amusement, car la phrase pouvait être prise comme on le voulait.
Leo réalisant deux secondes plus tard ce qu'il venait de dire, avait rougit jusqu'aux oreilles puis lâché l'épaule de son ami et s'était accroupi au milieu du trottoir en se cachant le visage de ses deux mains, tellement il se sentait stupide.
- Mais c'est pas vrai..... Fait comme si j'avais rien dit.... Avait-il dit d'une petite voix misérable.
Noam avait rit de plus belle et ébouriffé les cheveux du blond.
Voyant que son ami restait prostré, il lui avait tendu la main et interpellé.
- Alleeeez !!! Relève-toi, moi aussi j't'aime bien mon grand ! Lui avait t'il dit d'un ton rieur.
Leo finit par saisir cette main amicale pour se remettre debout, il avait chancelé et Noam l'avait rattrapé par dessous le bras pour le ramener entier à la maison.
Le blond n'avait plus osé regarder en face son ami du reste de la soirée, car pour lui il s'agissait d'amour et non d'amitié.
Le lendemain matin, Leo s'était levé très tard avec un bon mal de crâne. Il avait enfilé un pantalon de survêtement noir et d'un tee-shirt bleu pâle.
En sortant de sa chambre il avait pu constater que Noam était absent.
Il avait soupiré de soulagement car ne savait comment il allait pouvoir à nouveau regarder en face son ami, depuis sa « fameuse » déclaration. Bien qu'apparemment il l'aie prise d'une tout autre façon que celle qu'il aurait voulu.
Tout perdu dans ses pensées, il avait soudain réalisé qu'une petite boule poilue lui faisait la fête en ronronnant et en se frottant contre ses jambes. Leo s'était baissé sans précaution pour prendre celle-ci entre les bras, et au moment de se relever, il l'avait amèrement regretté.
Dans sa tête, un imbécile avait doublé le volume du joueur de Djembé.
De sa main libre, il était venu se tenir le front en attendant que les battements se calment au niveau de ses tempes. Ensuite il s'était dirigé dans la salle de bain pour y prendre une aspirine, en refermant la porte de la pharmacie, le miroir lui avait renvoyé une image peu flatteuse de son état. Il avait soupiré puis était partit direction la cuisine, en y arrivant Snow avait sauté des bras de son maître pour pouvoir se promener sur le plan de travail. Leo ayant trop mal au crâne pour avoir râler, l'avait laisser faire.
Il avait pris son aspirine avec un verre de jus d'orange.
Une fois fait, il était partit se vautrer sur le divan à plat ventre la tête dans les coussins, celle-ci lui faisait un mal de chien.
Entre temps Snow était revenue vers son maître, pour se pelotonner contre lui.
Noam, le matin même.Il était quatre heures du matin et il ne dormait toujours pas. La « fausse » déclaration de Leo l'avait un peu remué, bien que sur le moment il avait fait semblant d'interpréter cela comme un « je t’aime » en tant qu'ami.
Il n'était pas stupide, il avait bien remarqué que Leo s'attachait trop à lui, et cela l’ennuyait, non pas dans le sens ou il était contre, mais il ne voulait aller plus en avant avec ses sentiments. Il savait que Leo serait le premier à en souffrir.
Noam était en train de préparer son départ, il rêvait d'une vie ordinaire et retrouver une vie anonyme après avoir été hitman, impliquait d’effacer toutes traces de son passage et abandonner les personnes que l'on avait connue.
Sa famille.... ?
Ah !
Tout n'étais que mensonge.
Il était orphelin.
Ses études ? La seule partie à être véridique, avec l'armée .
Il voulait une vie normale sans se soucier du manque d'argent et il s'y préparait depuis longtemps et avec minutie.
Pourquoi ce métier ?
Bah ! Pour l'argent bien sûr !
Donovan ?
Parce qu'il le connaissait déjà avant de travailler pour lui, et savait que le jour ou il voudrait tout quitter, il ne le retiendrait pas.
Comment gagner un gros pactole rapidement afin de subvenir à ses besoins tout en recommençant une nouvelle vie.
Soyez un tueur professionnel.
Tueur.... Non ce n'était pas pour Noam. Il avait tout fait pour être dans l'infiltration et un excellent collecteurs de donnée mais.... il avait bien du s'y résigner, et la première fois ou il avait exécuté un homme, il avait cru mourir de l'intérieur.
Il n'avait rien contre les personnes faisant ce
métier mais lui, après chaque mission d'assassinat, il était malade. Bien que les gens qui faisait l'objet de tel contrat n'avait rien de personnes honorable et que leur disparition ne faisait que nettoyer la terre de pourriture sans nom.
Il voulait mener une petite vie tranquille.
Tout recommencer.
À zéro.
Et maintenant voilà qu'à quelques semaines de son départ, Leo se mettait à lui faire des déclarations....
Noam aimait autant les femmes que les hommes, et dès qu'il avait aperçu Leo, il avait su que cela compliquerait son existence.
Et là, cette nuit.
Il avait du prendre sur lui pour ne pas révéler ses propres sentiments, car bien que faisant tout son possible pour ne pas donner trop de signes encourageant envers Leo, il avait bien du mal à dissimuler son attirance pour son ami. À chaque fois que l’ambiance s'était trop réchauffée, il avait fait en sorte de trouver une échappatoire.
Mais cela faisait bien longtemps qu'il était seul et les tentatives d'approche de Leo n'avait rien fait pour étouffer ses propres désirs. Il essayait tant bien que mal de garder une certaine distance. Lorsque Leo tentait une approche ou un dialogue sur le sujet, il s'était toujours arrangé pour s'en sortir soit, par une blague, soit un sourire tout en ne répondant pas à la question ou faisait croire à Leo qu'il n'avait pas compris dans le sens voulu la phrase ou l'approche.
Maintes fois, Noam du se
soulager sous la douche, pour ne pas craquer.
Il était conscient que tantôt il serait face au problème, sans possibilité d'échappatoire....
Dimanche après-midi.Noam s'était absenté pour aller récupérer un document indispensable à la réalisation de son projet.
Un faux passeport.
Il s'était rendu dans un quartier du Bronx, ou un homme très doué pour ce genre de travail avait réalisé le sien contre une grosse somme d'argent.
De retour dans le quartier ou il habitait avec Leo, il était allé se détendre dans le petit parc se trouvant en face de leur immeuble, le temps était magnifique.
On étais au mois de mai, la température s'était réchauffée et le soleil brillait. Il avait fait le tour du parc, s’imprégnant de la tranquillité y régnant. Sur le chemin il avait rencontré la vieille voisine du dessous, très sympathique personnage qui promenait son chien. C'était un très bel animal, il s'agissait d'un Colley nain de couleur caramel et blanc très affectueux. Ils entamèrent la conversation et au bout d'une demie-heure, Noam l'avait quittée en lui souhaitant une bonne après-midi.
Sur le retour, il se demandait comment Leo s'était levé.
Avec sa gueule de bois, ça ne devait pas être fameux. Car il ne doutait pas de l'état de son ami à son réveil.
Cette pensée l'avait fait sourire.
Il était entré doucement dans l'appartement et avait trouvé Leo endormi, allongé sur le ventre sur un des divans du salon avec Snow roulé en boule contre lui. Il était partit dans sa chambre cacher le précieux document, au fond de lui un soupçon de culpabilité le rongeait, il trahissait son amitié envers Leo et en était pertinemment conscient. Mais, même cette amitié sincère, ne l'empêcherait pas de disparaître le temps voulu.
Il avait lâché un soupir qui aurait fendu, même l'âme de Dame Faucheuse.
En ressortant de sa chambre, il s'était dirigé en cuisine sans bruit, pour préparer un petit quelque chose à manger, en prenant une des casseroles, Noam sentit Snow qui était venue se frotter et ronronner autour de lui. Il avait poser la casserole sur une des plaques de cuissons et avait pris celle-ci dans ses bras pour la gratifier de quelques grattouilles, puis l'avait reposée à terre, mais Snow semblait avoir envie d'autre chose, elle n’arrêtait de miauler.
- Oooh lalaaa mais tu aurais faim par hasard ? Ton maître t'as rien donné ?
Snow continuait de miauler.
- Ok ok attend, je vais te donner à manger ma pauvre, tu dois être affamée.
Il lui ouvrit une boite de pâtée pour chat et rempli sa gamelle, elle s'était précipité dessus.
Noam sourit. Puis avait continuer de préparer le dîner, car lui aussi avait faim, par contre il avait plus de doute sur l'appétit de son ami.
Une fois le repas prêt, il était allé réveiller Leo.
- Oh ! La belle aux bois dormant c'est l'heure. Dit-il doucement, tout en lui secouant gentiment l'épaule.
Leo avait grogné la tête enfoncé dans le coussin.
Noam s'était penché et lui avait murmuré.
- Alors on a mal au crâne ? Toujours à voix basse.
La tête toujours enfoncée dans le coussin il lui avait répondu.
- ...ai...oi.....mou......
Noam avait rit.
- Tu veux pas me regarder quand tu parles, parce que là je comprend rien.
Leo avait relevé la tête péniblement, il faisait peine à voir, son teint était livide.
- Oh mon pauvre t'as une sacré caramel ! Dit-il avec un large sourire.
- Laisse-moi, mourir. Dit-il d'une petite voix puis, il avait reposé sa tête sur le coussin.
- Relève-toi et vient manger un bout après tu prendras une aspirine, ok ?
Le malade s'était péniblement relevé pour s'asseoir.
- J'en ai déjà pris, et j'ai pas faim. Dit-il d'une petite voix.
- Ok, mais tu devrais manger un peu tu sais.
- Tu plaisantes là ? Hun ?
- Non, et prendre des médicaments le ventre vide c'est pas toujours le mieux à faire, même si tu as une migraine carabinée. Viens manger un morceau, tu me feras plaisir.
- ........
L'estomac de Leo faisait les valseuses et sa tête n'était que martèlements.
Noam ne voulant laisser Leo dans cet état, il l'avait pris doucement par dessous le bras et amené à table. Il lui avait servi une petite portion de spaghetti nature.
- Mange ça ok !
- .....
- Après tu prendras encore une aspirine et retour au lit. Lui dit-il toujours avec un grand sourire.
Leo n'avait plus rien dit.
Il s'était contenté de baisser la tête et forcé à manger deux coups de fourchette, laissant le reste c'était au dessus de ce que son estomac supporterait, puis il avait pris son deuxième cachet d'aspirine de la journée.
- Je vais aller me recoucher ..... Merci.
- J'ten prie. Dit-il tout sourire.
- Noam...
Dans le même temps qu'il l'avait interpellé, il s'était levé de sa chaise tout en se tenant la tête de sa main droite.
- Mmh ?
- Tu veux bien, arrêter d'afficher se sourire narquois.
Noam avait éclater de rire.
-
N.O.A.M.... Dit Leo d'une voix sourde.
- Haha !! Mmpfff..... désolé désolé... Mais t'as vraiment une sale tête! Mmmpf.... pardon....
- ......
Sans plus mot dire il était partit se recoucher en traînant les pieds, Snow avait suivi son maître, se demandant bien ce qu'il pouvait avoir. Une fois sous les draps la petite boule de poils était venue se pelotonner à côté de son maître.
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Noam avait regardé Leo partir, son sourire s'était effacé pour laisser place à un visage soucieux.
Son sourire ?
Un simulacre pour dissimuler le trouble qui l'habitait depuis cette nuit.
Depuis qu'il lui avait dit qu'il l'aimait, bien que Noam avait pris cette déclaration à la légère, il ne doutait pas de la véracité des sentiments de son interlocuteur.
Ce « je t'aime » lui passait et repassait sans cesse dans les oreilles.
Mais il ne pouvait, il n'avait pas le droit de faire souffrir Leo et avait décider de garder ses distances. Essayant d'enfermer ses sentiments naissant au fond de son coeur.
Il avait débarrassé la table et mis les assiettes dans le lave-vaisselle, puis avait pris dans le frigo une sorte de sachet rempli de gelée bleue qui était utilisée en cas de douleurs et donc la chose idéale en cas de migraine.
Il était entré doucement dans la chambre de Leo. Snow avait relevé la tête, le blond était allongé sur le côté replié sur lui même se tenant le front de la main droite, il semblait souffrir le martyr. Noam sourit, cela faisait longtemps que lui même, n'avait eu pareille migraine.
Il avait aidé Leo à se mettre sur le dos, celui-ci aurait voulu protesté mais trop mal en point pour gagner la bataille, puis Noam lui avait dégager les cheveux de son front et posé le sachet.
- Garde ça ok !
- Mmmh..... merci.....
Leo s'était réveillé le lendemain en pleine forme et voyant que Noam n'avait pas changer de comportement, ils avaient repris leur train train quotidien.
Mais deux semaines plus tard Leo n'y tenant plus, s'était jeté à l'eau lors d'une séance d'entrainement dans l'une des salles de sport réservé aux hommes de mains de Donovan.
Il était plus d'une heure du matin et ils étaient les derniers à l'étage.
C'était un combat à main nue et pour une fois, Leo avait réussi à mettre à terre son adversaire.
Fièrement assis sur le ventre du vaincu, il se targuait de lui avoir fait mordre la poussière.
Noam avait bien rit de s'être fait avoir comme un bleu et l'avait félicité de ses progrès.
Puis le perdant voyant que son adversaire ne s'enlevait pas, lui avait demander de bien vouloir se relever.
C'est à ce moment que Leo s'était lancé.
- Noam...
- Mmh ?
Leo s'était penché afin de se rapprocher du visage de son ami et avait posé ses mains au sol, de chaque côté de son visage. Leurs yeux ne se lâchait pas.
- ....
- Leo ? L'avait-il interpellé d'une voix incrédule, Noam commençait à stresser, il savait qu'il n'aurait d'échappatoire cette fois.
Sans raison Leo avait perdu son assurance et s'était redressé tout en restant assis sur lui, ses mains maintenant, agrippait le haut de son ami.
Noam lui en avait profité pour se redresser afin d'être assis. Leo toujours sur lui, s'était un peu reculé tout en baissant la tête, ses mains toujours serrée sur le tee-shirt.
- Heu..... Leo ?
Soudain il avait relevé la tête et avait tiré de toute ses forces le tee-shirt de Noam l'obligeant à se pencher dans sa direction et l'avait embrassé.
Avant que son ami n'aie eu le temps de protester, Leo s'était retiré et relevé dans le même mouvement.
- Leo ? Avait appelé Noam d'une voix légèrement tendue.
Le blond s'était mit à marcher en direction de la sortie.
- Hey !?Leo s'était figé au ton employé par Noam pour l'interpeller. Prenant peur que celui-ci lui en veuille, il s'était arrêté puis retourné et lui avait adressé un visage faussement joyeux.
- Excuse-moi.... C'était juste une plaisanterie, je..... voulais voir comment tu réagirais. Haha !! Oublie-ça d'accord ?
Leo n'eut le temps de se retourner assez vite, pour que son ami ne remarque les larmes qui embuaient ses yeux et il s'était relevé entre deux.
Leo était parti en pressant le pas en direction de la porte, mais Noam l'avait rattrapé et poussé avec un peu plus de violence qu'il ne l'aurait voulu contre celle-ci.
Il s'était retrouvé méchamment bloqué, Noam le tenant fermement au niveau des épaules.
Leo surpris par la violence de son ami ne pu retenir ses larmes qui maintenant coulaient sans retenue.
Noam avait de suite desserré son étau, toutefois, sans complètement relâcher son ami.
Celui-ci avait baissé la tête et était livide.
- ...Désolé....Je suis désolé....laisse-moi partir....je...
- Excuse-moi, j'y suis aller un peu fort. Mais je vais pas te laisser t'enfuir comme ça.
Leo n'avait pas réagi aux mots de son ami, tétanisé à l'idée de le perdre. Tout ça parce qu’il n'avait su rester à sa place.
Leo se sentait misérable, apparemment il s'était trompé à son sujet.
Sauf que l'Irlandais, qui avait si bien enfoui ses sentiments, ne su les réprimer plus longuement face à la détresse de son ami.
Noam était venu essuyer de la main droite ces perles salées qui glissaient le long de ses joues.
La tête baissée, Leo finit par dire d'une voix à peine audible.
- Laisse-moi partir.... je me sens pas très bien....
Noam avait lâcher un soupire à fendre l'âme tout en prononçant le nom de Leo, puis contre toute attente l'avait pris dans ses bras.
Le blond surpris, n'avait osé faire un geste, ne sachant comment interpréter celui-ci.
Noam, tout en le gardant contre lui, avait murmuré :
- Is cóir dom sin.
- Je ne devrais pas.- Toisc go mbeidh mé a dhéanamh tú ag fulaingt agus ... go mbainfidh tú fuath liom...tá tú ag dul fuath liom ... ach ansin ...
- Car je vais te faire souffrir et..... tu vas me haïr...mais là...- Féidir liom níos mó...
- j'en peux plus...Sans laisser le temps à Leo de le questionner sur ce qu'il venait de dire, il était venu emprisonner ses lèvres.
Puis était venu lécher les larmes qui perlaient aux coins des yeux de son ami.
Leo le fixait l'air interdit.
Noam lui avait caressé la joue, puis avait continué le long du cou.
Leo avait frissonné.
Puis le blond s'était un peu énervé et l'avait légèrement repoussé.
-Noam..... ça veut dire que t'as pas arrêter de faire semblant de rien voir ? Lui dit-il sur un ton de reproche.
-Mmmh.. oui....
-Parce que je ne suis ici pour ce genre d'affaire. Lui dit-il les yeux dans les yeux affichant un air taquin.
- Et maintenant ?... Tu... ?
Sans répondre Noam avait glissé une main derrière la nuque du blond pour l'attirer à lui et emprisonner ses lèvres dans un baiser passionné.
Quand Noam avait relâché Leo, ils s'étaient regardé un long moment, puis le blond avait demandé.
- Si on rentrait ?
L’interpellé avait acquiescé avec un large sourire.
Arrivé chez eux, Leo s'était empressé de refermer la porte, il était dos à Noam, qui en avait profité pour venir l'enlacer, lui glissant les bras autour de sa taille tout en lui embrassant la nuque, procurant de délicieux frissons au blond. Leo avait tourné la tête et appelé Noam qui s'était redressé. Le blond en avait profité pour se retourner et venir voler un baiser à son ami qui avait laissé cette langue inquisitrice pénétrer cette antre qui lui avait été interdite jusqu'à ce soir.
Une douce bataille s'était engagée.
Noam lui avait retiré sa veste et glissé sa main sous son tee-shirt, venant caresser un petit grain de chair déjà très sensible et bourgeonnant de désir.
Leo n'avait pu retenir un gémissement. Ce qui avait ravi le coupable de ces caresses.
Le blond ne pu s'empêcher de lui demander si il était sûr de lui, sa réponse fut sans équivoque.
- Oui. Je suis sûr, ça fait des semaines que tu me cherches !
Leo avait furieusement rougit à ces mots. Trop heureux, il s'était enhardit et avait retiré veste et tee-shirt à son ami. Puis il était venu défaire l'élastique retenant les long cheveux de l'Irlandais.
Leo les avait caressé longuement.
- Tes cheveux sont vraiment beaux... tu le sais ça ?
- Mmhmmh.... Mais là tu vois, il y autre chose qui m'intéresse.
À ces mots Noam était venu poser sa main sur une bosse naissante dans le jean de son ami, qui ne pu retenir un gémissement.
Gémissement qui fut englouti par un nouveau baiser de Noam.
Leo avait ce qu'il voulait, il était aux anges. Il avait obtenu ce qu'il désirait.
Noam laissait sa main caresser cette protubérance et de l'autre il était venu explorer les fesses du blond. Quand soudain, une pointe de panique pris celui-ci.
- Attend !!
Noam c'était figé.
- Qu'y a t'il ?
Leo avait baisser la tête.
- Heu.... tu sais...
Silence.
Noam avait patiemment attendu.
- Je...j'ai....hem....c'est la première fois..... que...
Noam l'avait contraint au silence avec un doigt posé sur la bouche de son ami.
- Alors je vais t'apprendre.
- Tu.... quoi ?....
Heureusement que pour Leo les lumières n'étaient allumée à ce moment là car aucun ton de rouge disponible sur terre n'aurait pu décrire la couleur de son visage.
Noam avait laisser un sourire ravageur se dessiner sur son visage et était venu l'embrasser une nouvelle fois. Baiser qui fut accepter sans retenue, les deux langues se découvrant, se goutant et explorant chaque parcelle de son double, leur procurant nombre de sensations.
Noam l'avait attiré jusque dans sa chambre, sans que leurs bouche ne se quittent et refermer la porte sur une Snow dépitée de voir ses deux maîtres la délaisser.
Seules les lumières de la ville éclairaient la chambre.
Noam était venu retirer le tee-shirt de Leo, puis ses mains s'était misent à explorer chaque parcelles de sa peau laissant un sillon de chaleur sur leur passage.
Leo retenait difficilement ses gémissements, son pouls s'était accéléré. Comme c'était bon de sentir ces mains sur son corps. Il avait glissé les siennes dans la chevelure de son tortionnaire. Noam maintenant accompagnait ses caresses de sa langue, goûtant cette peau le long du cou pour ensuite continuer son chemin afin d'arriver sur un petit grain de chair où il s'était attardé. Le pinçant, le titillant du bout de sa langue, puis l'abandonnant pour mieux revenir le caresser, léchant avec gourmandise celui-ci.
Leo avait tressailli quand Noam s'était occupé de ce bouton de chair.
Par la suite il l'avait délaissé pour continuer à embrasser sa peau le long de ses abdominaux, de sa main droite il s'était remis à caresser une bosse qui maintenant était plus que douloureuse pour Leo, Noam défit le bouton, puis avait fait glisser lentement la fermeture éclaire. Le jean était tombé au sol et Leo d'un coup de pied l'avait envoyé au loin.
Maintenant en sous vêtement, Noam l'avais fait reculer jusqu'au lit et l'avait obligé fermement, mais en douceur à se coucher, puis il était venu se positionner entre ses jambes, s'était penché, et était venu lécher son érection par dessus le sous vêtement. Leo n'y tenait plus, le frottement du tissu à cet endroit lui procurait des sensations incroyable.
Lorsque Noam fini par enlever cet obstacle devenu gênant, du liquide avait coulé le long de cette verge dressée, pulsante, impatiente. Cette vision, preuve du désir de son ami avait ravi Noam. Il s'était emparé de celle-ci et avait commencé par lécher le haut goûtant la saveur de ce nectar aphrodisiaque.
Leo n'était plus que sensation et se laissait guider tel un pantin entre des mains qui semblaient experte.
Noam avait ensuite laissé sa langue descendre le long de cette turgescence, profitant de chaque nervures si attardant par moment pour mieux continuer sa route, tandis que de sa main droite il était venu prodiguer quelques effleurements à un endroit composé de boules de chair tendre et moelleuse.
Leo gémissait tout en lui suppliant d'en finir.
Noam avait gloussé et répliqué que plus c'était long meilleur c'était, surtout qu'il avait l'air d'apprécier.
Il n'avait répondu, si ce n'est des gémissements plaintifs.
Noam repris son exploration, continuant du bout de la langue à apprécier ce repas de choix.
Le blond se contorsionnait, ses mains avaient agrippé les draps et ses reins se mouvait contre son gré suivant les mouvements des caresses prodiguée par son ami. Noam était remonté le long de cette colonne humide et totalement épanouie pour la prendre en bouche, prenant soin de protéger cette chaire sensible de ses dents. Sa langue était venue s'y posée et avait commencé de lent vas et vient.
Tout en s'occupant de son compagnon, il s'était soudain sentit à l'étroit dans son pantalon, et avait du venir de sa main gauche ouvrir celui-ci afin de laisser de l'espace à son érection devenue plus que douloureuse.
Puis il s'était à nouveau concentré sur les sensations de son ami.
Noam se délectait du nectar qui s'échappait de cette sucrerie si douce, si chaude.
Lorsqu'il avait senti Leo arriver au point de non retour, il avait stopper net ses attentions.
L'intéressé avait voulu protester, mais sa bouche fut soudain prise en otage par les lèvres de Noam. Tout en l'embrassant le jean de celui-ci s'était frotté contre le membre tendu de Leo, s'en était de trop.
Il avait joui dans un cri, étouffé par le baiser de Noam.
Tout en continuant de l'embrasser, il s'était décalé sur le côté, d'une main caressante il avait parcouru le torse de son ami, puis l'estomac d'où il avait récolté du bout des doigts de ce nectar, puis sa main avait glissé vers un nouvel espace.
Noam décolla ses lèvres de quelques centimètres de celles de son compagnon, et lui avait demandé s'il était prêt pour la suite.
Leo était venu l'embrasser et avait retourné la situation en le repoussant. Noam qui pris avait été pris par surprise, s'était laissé guider.
Leo avait de suite posé sa main sur la bosse proéminente et plus que sensible de son ami, qui n'avait pu retenir un grognement.
Noam avait pris à son tour par surprise Leo, en venant l'agrippant de derrière la nuque d'une main ferme pour le faire se rapprocher. Il avait ensuite planté son regard dans celui de son ami et dit dans un souffle.
- Fait comme tu veux... Mais ça m'empêchera pas de te prendre.
Puis il l'avait embrassé ou plutôt mordu et repoussé avec un sourire de prédateur. Leo avait sourit taquin, et sa main droite était venu presser de façon un peu désagréable un endroit qui ne demandait qu'à ce que l'on prenne soin de lui.
Une petite vengeance pour le baiser mordant.
La victime avait grogner. Elle aurait voulu protester mais le coupable avait déjà cessé la torture et donc se tu. Le pantalon était devenu plus que gênant et il fut retiré. Le dernier obstacle de tissu disparu, lui aussi.
Le blond avait admiré ce membre dressé, ne demandant qu'à être le témoin de toutes les attentions possible et imaginable.
Leo était venu y déposer un baiser sur le dessus, Noam avait gémi et ses reins s'étaient légèrement soulevé à ce contact, le blond maintenant passait sa langue le long de cette colonne, descendant et remontant avec lenteur, en appréciant la texture.
Noam dont le pouls s'accélérait dangereusement l'avait interpellé dans un souffle pour qu'il se tourne et se mette au dessus de lui. L'intéressé ne s'était pas fait prier et s'était exécuté.
Noam avait alors caressé en premier les fesses de son ami puis, les avait quelques peu écartée pour venir léché ce territoire vierge qui lui était présenté, Leo avait eu un frisson d'impatience.
La verge de son ami en bouche, il faisant de lent vas et vient en s'aidant de sa main.
Noam jugeant l'entrée suffisamment humide, s'était enduit les doigts de salive, puis en avait introduit un dans cette douce cavité, en quelques mouvement il avait trouvé le point stratégique dont Leo ignorait l'existence. Celui-ci avait été tellement surpris, qu'il avait crié, ce qui l'avait obligé à abandonner le sexe de son ami.
Les sensations qu'il ressentait n'avait rien avoir avec ce qu'il avait connu jusque là. Noam en avait profité pour y introduire un deuxième doigts. Leo était vaincu, incapable de faire le moindre geste il était à moitié couché sur les jambes de son ami incapable de continuer ce qu'il avait entrepris. Noam avait sourit, il avait gagner la bataille. Il avait cesser de caresser cette entrée puis l'avait fait rouler sur le dos et était venu se positionner au dessus de sa proie pour reprendre sa douce torture et admirer la nouvelle érection de son partenaire.
Leo était une marionnette entre les mains expertes de Noam. Son corps répondait instinctivement aux caresses de son bourreau.
Dans un gémissement Leo avait demandé à Noam de le prendre, il n'y tenait plus.
L'interpellé avait sourit puis sans cesser de détendre cette antre, s'était rapproché du visage de Leo.
- Encore un peu de patience, sinon je vais te faire mal.
Leo gémit d'insatisfaction, il avait voulu se soulager mais Noam l'avait arrêté.
- Pas touche !
- Mmhhh... Alors prend-moi maintenant !.... Avait dit Leo de façon directive.
Noam avait sourit puis retirer ses doigts. Il était ensuite venu se placer assis sur les genoux devant cette entrée obligeant Leo à écarter plus les jambes. Les mains de l'Irlandais avaient glissé en premier sur les cuisses de sa proie, puis sur les hanches, pour venir se glisser sous les reins de sa proie afin de le soulever avec force pour rapprocher cette entrée tant convoitée.
Noam s'était ensuite inciser en lui, d'abords un peu puis en était ressortit pour recommencer ainsi de suite toujours plus profondément.
Son ami avait les yeux fermé, son visage semblait montrer une certaine douleur. D'une main il était venu caresser le visage de Leo qui était tout en sueur.
- ....ça va?
Leo était haletant.
- ....... ngh...
Le corps de Leo avait eu un spasme.
- ...Oui...con...tinue...
Noam ne s'était pas fait prier.
Leo n'était plus que sensation, de son sexe s'écoulait la preuve de son excitation.
Noam avait une respiration erratique, il était près de la délivrance. Leo aussi était sur le point de jouir au fur et à mesure des coups de reins de son ami, il se resserrait sur cette chose qui l'envahissait et qui lui procurait des sensations indéfinissable.
Mais Noam s'était retiré juste avant qu'il ne soit trop tard pour eux deux.
Leo avait grogné d'insatisfaction. Noam aussi avait du prendre sur lui pour ne pas éjaculer en ressortant de cette cavité si accueillante.
- ....Pour...quoi.... tu....
Noam ne l'avait pas laisser finir sa phrase, il était venu sauvagement l'embrasser.
Lorsque Noam avait relâcher les lèvres de Leo, un filet de salive les avait gardé relié. Noam était venu couper ce lien de sa main droite. Puis il avait aider Leo à s'asseoir et sans lâcher le bras de son ami il s'était reculer en haut du lit qui était collé au mur, ce qui avait obligé Leo à le suivre à genoux sur le lit. Puis Noam s'était installé assis dos contre celui-ci, puis avait tiré sur le bras de Leo lui faisant comprendre ce qu'il attendait de lui.
Leo avait rougit furieusement, comprenant ce son ami attendait, puis s'était exécuté trop excité pour tergiverser. Il avait chevauché son ami et pris place en prenant soin de diriger cette colonne dardée dans cette cavité qui maintenant n'était plus vierge et qui réclamait cette présence intrusive.
Tout en prenant place Noam avait retenu un grognement de plaisir et avait placé ses mains sur les reins de Leo.
Le sexe du blond était venu frotter contre l'estomac de son ami, torture insoutenable, le blond gémit à ce contact.
Il était venu poser ses mains sur les épaules de son ami et sans plus attendre, s'était mis à remuer les reins, voulant absolument sentir cette présence en lui, qui remodelait son intérieur.
Noam ne lâchait pas des yeux l'expression qu'affichait Leo.
De petits bruits indécents accompagnait les coups de hanches de Leo.
Puis soudain, la danse s'était transformée en mouvements frénétique, amenant les deux hommes à la délivrance.
Leo s'était resserré si fort sur le membre de Noam au moment d'éjaculer que celui-ci l'avait immédiatement suivit dans la délivrance se répandant en spasme violent dans cette cavité de velours.
Le blond vaincu par son orgasme s'était collé à Noam, essoufflé et parcouru d'agréable frissons.
Noam avait glissé ses mains sur le dos de son ami afin de le serrer dans les bras.
- Je t'aime aussi... Avait murmuré l'Irlandais.
Leo s'était redressé et l'avais embrassé.......
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Bureau de Leo.Leo toujours la tête sur ses bras laisse s'échapper un soupir sans fin.
- De l'amour!
Tshe!!! Foutage de gueule ouai....
Puis il reprend d'une petite voix.
- Pourquoi tu m'as abandonné...
- Je t'aimais, moi............ Je t'aimais vraiment.....
Ses mains se resserrent sur ses bras et il referme les yeux.
La pluie s'est remise à tomber sur New-York, les gouttes jouent du tambour sur la vitre du bureau de Leo lui rappelant le jour où tout à basculé dans sa misérable vie amoureuse.
- Plus jamais je le dirais, plus jamais je dirais ces mots........
Une larme vient couler sur sa joue.
À suivre......
À cette heure avancée cela fera exactement plus de 8 heures que je corrige ce texte aujourd'hui ( sans compter les trois après-midi à écrire le pavé pour tenir ma promesse ..... l'ancêtre de 37 ans vas aller se coucher elle répondra demain aux questions ou aux envies de meurtre envers celle qui à écrit ce texte XDDDD Bah quoi ? Vous m'en voulez parce que ce n'est pas Leo et Yshâ O_____o, patience ça viendra XDDDD
Ps: J'espère que vous aurez aimé.......
Bisou tout le monde là j'arrive plus à lire sur l'écran XDD 
Ps2: merci pour tout vos messages Chrome-chan, Ceres et Yuuriko gros bisou !!! 
Dim 6 Jan 2013 - 13:00
Mon poignet c'est encore la galère je vais jeudi 24 janvier me faire opérer.... 
merci de t'en inquiéter 
naaaaaaaaaaaaan !!! tapez pas !!! 
.....................
je sais que c'est mérité là ou je m'arrête mais promis d'ici le weekend prochain faudra vous préparer 
Acheter kleenex et bavoir pour pas noyer vos claviers 
très hot !! 
Bon bah du coup t'as eu un gros pavé à lire 
que d'honneur!!